La disciple et les sabres invincibles - André Cognard

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Ils étaient harassés. Akiko regardait son professeur qui ne disait rien.
Elle ressentit tout à coup un désir violent, une envie de le secouer pour le faire parler, pour le sortir de son rôle. Elle pensa qu’il devait bien avoir des pensées, des craintes, ou une idée.
Il la regarda gentiment et répondit directement à ses pensées…

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Dix années après la disparition de son maître, Omori sensei, Alan Vilfort poursuit ses périples entre la France et le Japon. Sa détermination le mène à des rencontres des plus importantes notamment avec l’héritière de la famille Yagyu, jadis école de sabre impériale.
La Providence lui permet également de rencontrer un grand maître de calligraphie, Yamanaka Shingai, qui deviendra son ami le plus cher.

Au cours d’une traversée en bateau, une famille lui confie leur fille, Tomomi, handicapée, que les médecins ont condamnée à la chaise roulante. Alan voit en elle un grand avenir et devient son maître.
Un long parcours initiatique l’attend afin d’en finir avec les traumatismes ancestraux qui l’accablent. Elle s’appelle désormais Akiko, la disciple.

Dès l’enfance, André Cognard entend l’appel des Arts Martiaux. Il débute par la pratique quotidienne du judo, de l’aikido et du karaté. Encore adolescent, il enseigne l’aikido à un groupe d’adultes. À 17 ans il crée cinq groupes d’aikido dans plusieurs villes du département de la Loire.

En 1975 il obtient son diplôme d’État de professeur de judo, aikido, karaté et disciplines associées, option aikido. Il enseigne également le kendo.
Sa passion pour les arts martiaux est néanmoins restée insatisfaite jusqu’à la rencontre, en 1973 avec son maître, Kobayashi Hirokazu. Ce dernier fut le disciple du fondateur de l’aikido moderne, Ueshiba Morihei.

André Cognard suit l’enseignement de l’homme qu’il reconnaît comme son maître jusqu’à la mort de celui-ci, en 1998. Conformément à la tradition martiale japonaise, l’aikido lui est transmis du corps au corps, de l’esprit à l’esprit. « …Ce qui m’a donné l’envie de pratiquer chez cet homme, c’est sa cohérence. Il incarnait ce qu’il disait. Il vivait l’harmonie de l’aikido au quotidien. Sa gestuelle était d’une esthétique extraordinaire qui rendait compte d’une éthique profondément humaniste. Ce qui de l’enseignement n’était pas donné par le geste passait par le silence. C’était ce que je recherchais depuis si longtemps. Je n’avais aucun doute sur ma décision… » André Cognard s’imprègne très vite de la culture japonaise : il en apprend, au cours de ses nombreux voyages, très rapidement la langue, les usages. Dix années de pratiques incessantes auprès de Kobayashi Hirokazu lui permettent de devenir son élève, dix autres font de lui son disciple et encore cinq, son successeur.

En 1982, André Cognard crée L’Académie Autonome d’Aikido, son école en Europe. L’enseignement de l’aikido y est dispensé selon la tradition mais, il est éclairé par des apports théoriques en sciences humaines, en particulier, en psychologie, en philosophie occidentale et orientale et en médecine.
En 1997 il crée avec Kobayashi Hirokazu un groupe international de recherche sur l’aikido mettant en place une éthique et une déontologie novatrices dont le fondement est le respect de l’individu. Cette organisation mondiale de l’aikido s’intitule : Kokusai Aïkido Kenshukai Kobayashi Hirokazu Ha, soit en français, Académie Internationale de Recherche sur l’Aikido Groupe Kobayashi Hirokazu. L’Académie Autonome d’Aikido, avec ses 120 dojo regroupant plusieurs milliers de licenciés, représente cette école en France. Il existe des groupes importants appartenant à l’Académie internationale au Japon, en Italie, en Allemagne, en Espagne, en Pologne, au Maroc, en Indonésie et en Inde.
En Août 1998, à la mort de Maître Kobayashi, André Cognard reçoit de celui-ci la charge de diriger l’Académie Internationale.
En 2004, pour pouvoir faciliter ses déplacements afin de développer plus efficacement son groupe, et pour se rapprocher de son maître qui avait été kamikaze, André Cognard devient pilote d’avion. Il passe sa licence de base et sa licence de pilote privé en dix mois et commence la préparation d’une licence professionnelle, appliquant ainsi un précepte de son maître qui disait : « La vie d’un homme commence à cinquante ans. A cinquante ans, tu commenceras quelque chose ! »

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La disciple et les sabres invincibles - André Cognard

La disciple et les sabres invincibles - André Cognard

Ils étaient harassés. Akiko regardait son professeur qui ne disait rien.
Elle ressentit tout à coup un désir violent, une envie de le secouer pour le faire parler, pour le sortir de son rôle. Elle pensa qu’il devait bien avoir des pensées, des craintes, ou une idée.
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