Mon karatejutsu, Watashi no karatejutsu - Motobu Chôki par Jean-Charles Juster

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Sous quelle forme pratiquait-on à Okinawa par le passé ? Quelles valeurs inculquait-on aux adeptes ? Autant de questions légitimes que doit se poser un jour ou l’autre tout adepte versé dans le karate traditionnel. Or, depuis que cet art martial a vu sa part compétitive devenir majoritaire, il n’est pas aisé de trouver des réponses à ces questions…Motobu Chôki, avec son livre Mon karatejutsu traduit et édité par Jean-Charles Juster de façon inédite en français, offre au lecteur une chance unique et rare de pouvoir toucher du doigt le karate okinawanais de jadis. En abordant aussi bien des points strictement techniques, que théoriques, l’auteur fournit des pistes de travail plus que jamais valides en ce début de nouveau millénaire.Il narre également les exploits et talents des pratiquants et experts du passé, dont les noms sont pour beaucoup tombés dans l’oubli, permettant à ceux que l’histoire des arts martiaux okinawanais intéresse d’élargir leur connaissances. Texte de 4e de couverture : Voilà 150 ans que Motobu Chôki vit le jour ! Le maître, actif au même titre que Funakoshi et Mabuni à la métropole japonaise pour développer l’art okinawanais du karate durant les années 1920 et 1930, n’est pourtant pas des plus connus, et sa pratique l’est encore moins !Parfois décrit à tord comme un révolutionnaire, Motobu était plutôt un ardeur défenseur du karate d’avant la modernisation initiée par Itosu.C’est ainsi qu’avec cet ouvrage il expose de façon détaillée et fine les tenants et les aboutissants de l’entraînement selon la tradition okinawanaise. La manière de former le poing, la position de base hachimonji, est bien sûr traitée. Mais ce qui fait la valeur de cet ouvrage paru initialement en 1932, c’est la présentation, temps par temps, de la forme Naihanchi shodan. Enseigné et pratiqué par Motobu, ce kata constitue la base de son karate encore de nos jours et, à ce titre, il mérite toute l’attention de ceux qui s’y adonnent de leur côté. L'un des livres centraux du karate d'avant-guerre enfin traduit en français!

Jean-Charles Juster est né à Paris en 1978.

Fils d’un acupuncteur traditionnel, il passe son enfance entre les traités de médecines chinoises et les classiques chinois, tandis que son père lui apprend quelques points de pression qui font naître en lui un intérêt pour le corps et ses mécanismes.

Intéressé depuis toujours par le Japon, il entre aux Langues'O en 1997, après des études littéraires où il a la chance d’étudier le japonais en 3e langue vivante.

Après une licence de langue, de littérature et de civilisation japonaises, il entame un cycle de maîtrise en 2001.

L'année suivante, il intègre l'école doctorale des Langues'O sous la direction du professeur François Macé, qui dirigera dès lors tous ses travaux de recherche. Influencé par la vision large de la civilisation japonaise de son directeur de recherche, il commence, en pionnier, à s’intéresser à Okinawa, et choisi d’étudier sa culture à travers ses danses.

Le mémoire de son DEA était intitulé Introduction aux danses des Ryükyü.

En 2002, il s'inscrit en ethnologie à l'Université de Paris X Nanterre.

En 2003, il commence sa thèse de doctorat (soutenue en 2007) intitulée : Les rapports entre les danses et les arts martiaux d'Okinawa, de la forme à l'identité

En 2005, il part pour Okinawa, à l'Université d'Okinawa des arts établie à Shuri, afin d'entamer un cycle de master de deux ans. Il a durant cette période rencontré de nombreux spécialistes des arts scéniques okinawanais.

C'est également à cette époque qu'il met en pratique les théories de l'ethno-choréologie apprises à Nanterre, notamment dans le cadre de ses recherches de terrain pour ses travaux doctoraux.

Il commence alors à être introduit dans certaines salles et écoles, comme le Kyûdôkan des Higa, l’Okinawa kenpô de Yamashiro Yoshitomo, le Bunbukan de Nakamoto Masahiro, ou le dojo de Hokama Tetsuhiro.

En 2009, il devient membre du Centre de recherche sur la culture okinawanaise de l'Université Hôsei à Tokyo. Depuis cette année, il effectue des séjours annuels de recherche à Okinawa, principalement dans les milieux des arts scéniques et des arts martiaux.

En 2013, afin de participer à la connaissance de la culture ryûkyû dans le monde francophone, JC Juster co-fonde un groupe de recherche : Culture d'Asie et d'Okinawa.

L'année suivante, il co-publie le premier livre dédié à Okinawa et à sa culture en langue française : Un clan d'Okinawa Les Tamanaha de Shuri.Partant du constat qu'Okinawa est très mal connu en Occident, ou l'est pour de mauvaises raisons, JC Juster a pour but de proposer des écrits simples, mais aucunement simplistes, sur les différents éléments émanant de la culture et de la société des ces îles.

  • Éditeur ‏ : ‎ Independently published (26 juillet 2020)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Broché ‏ : ‎ 139 pages
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 979-8656608527
  • Dimensions ‏ : ‎ 12.7 x 0.89 x 20.32 cm

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